Nos délégations anversoises de la chimie et du pétrole font du bruit!

Dans une lettre ouverte à la FEB, au VOKA et au ministre de l’emploi, les militants anversois des secteurs de la chimie et du pétrole demandent le respect pour leur travail pendant la crise du corona, mais également pour les prestations effectuées ces dernières années.

La flexibilité des travailleurs est énorme: ils travaillent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 dans différents systèmes d’équipe et souvent 7 jours d’affilé. Grâce aux travailleurs, la valeur ajoutée des secteurs a fortement augmenté ces dernières années.

Ce n’est jamais suffisant pour les employeurs

En plus des subsides salariaux que les employeurs perçoivent déjà aujourd’hui, voir notre article ‘les employeurs de la chimie n’ont jamais payé aussi peu de cotisations sociales qu’aujourd’hui’, les employeurs aimeraient utiliser cette période de crise pour imposer davantage de flexibilité: les réglementations concernant les heures supplémentaires et le travail de nuit est remis en question par les employeurs et il y a de cette manière une volonté de mettre les syndicats hors jeu.

Il ne faudrait pas que les travailleurs payent à nouveau les pots cassés pour la crise. C’est grâce à leur travail et leur pouvoir d’achat que l’économie tourne.

Lisez la lettre ouverte de nos militants sur https://www.heldenblijvenhelden.be/. Vous trouverez la traduction de la lettre ici sur notre site.