Meilleurs voeux 2026
Patrick : Travailler dans une entreprise pharmaceutique comme Pfizer implique toujours de grandes exigences. Par exemple, il existe des procédures pour le vestiaire et des méthodes de travail qui doivent toujours être strictement respectées au cours du processus de production. Depuis le Corona, ces règles continuent de s'appliquer, mais nous avons dû passer à la vitesse supérieure pour pouvoir délivrer les volumes de vaccins requis.
Patrick : Plusieurs collègues ont été transférés au département COVID, non seulement pour la production du vaccin, mais aussi pour transmettre leurs connaissances à de nouveaux collègues. Cela demande un effort supplémentaire, car une formation complète prend entre 6 et 12 mois. De plus, le département COVID travaille 7 jours sur 7, 24/24. Et ce depuis le début de la pandémie.
Patrick : Nous faisons des équipes supplémentaires depuis plus d'un an. Les collègues qui travaillent en semaine font des shifts supplémentaires le week-end, les collègues du week-end viennent en semaine pour faire des journées en plus et les collègues qui travaillent de nuit font également des shifts supplémentaires. Si un collègue est absent, ces heures doivent également être couvertes, ce qui entraîne encore plus d'heures supplémentaires. La production continue même les jours fériés.
Patrick : Tout le monde parle de la lenteur des livraisons et du processus de vaccination, et la direction ne le comprend que trop bien. Elle fait tout ce qu'elle peut pour fabriquer et livrer le vaccin. Cependant, il est également important de savoir quels efforts de nombreux travailleurs fournissent depuis plus d'un an. Beaucoup sont à bout de nerfs, au sens propre comme au sens figuré.
Patrick : Tout le monde connaît l'importance du vaccin. Tous les collègues travaillent dans des circonstances très exceptionnelles. Cela ne peut pas continuer. Et pour les collègues, ils s'attendent à pouvoir négocier librement, car ces efforts doivent rapporter plus de 0,4 %.