Un accord plus éloigné que jamais

Les discussions ont été animées, nous nous sommes battus, mais force est de constater que les employeurs ne sont absolument pas disposés à écouter et à trouver un compromis. Ils sont restés sur leurs positions selon lesquelles il ne doit absolument pas y avoir le moindre «surcoût » pour les entreprises tout en exigeant des compensations déraisonnables de la part du Fonds pour la sécurité d'existence (FSE) y compris pour les années à venir et le tout sans accéder à nos demandes, ...

Nous avions pourtant clairement exprimé notre position et formulé une proposition ultime et plus que raisonnable :

  • Introduction ou augmentation des chèques-repas de 2 euros à partir de janvier 2026
    • Un jour supplémentaire de congé d'ancienneté pour les ouvriers et un premier jour de congé d'ancienneté pour les employés.
    • Une intervention dans les emplois de fin de carrière pour les ouvriers (par analogie avec les employés).
    • 1 jour libéré de la délégation syndicale pour les missions externes.
    • Un encadrement sectoriel pour les flexijobs.
    • Une étude sur l'impact / le coût d'une assurance hospitalisation gratuite.

Ceci associé à une contribution importante du FSE aux employeurs pour cofinancer cela en 2026. Mais cela n'a pas suffi non plus ! Les employeurs ont continué à refuser.

Afin d'augmenter la pression sur les entreprises du secteur, nous avons déposé un préavis de grève et prévoyons des actions en janvier.
Nous continuons à faire pression pour obtenir un accord sectoriel avec du contenu !
Si vous avez besoin de plus d'informations, contactez votre délégué.

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