La solidarité internationale repousse les frontières
1% des plus riches de la population mondiale possèdent plus de la moitié de toutes les richesses. Une inégalité qui ne cesse d’augmenter. Les cinquante entreprises les plus riches possèdent autant que l’ensemble de cent pays ! Pourtant, 94% de leurs travailleurs gagnent des salaires bas, ont peu de droits et sont occupés sur des lieux de travail dangereux.
Ces entreprises excellent en cupidité, évasion fiscale et exploitation de leurs travailleurs. La réalité est dure et fondamentalement injuste. Les travailleurs sont montés les uns contre les autres. Hommes contre femmes, chômeurs contre travailleurs, migrants contre travailleurs autochtones.
Un travail décent pour chacun
La solidarité internationale est dès lors une de nos priorités. Ce monde globalisé ne nous laisse pas d’autre choix. Les syndicats sont un contre-pouvoir nécessaire. Nous voulons un travail décent pour chacun …
- un revenu qui couvre les besoins de la famille
- du respect pour les droits de travail comme le droit de s’organiser
- une protection sociale et un dialogue social
- l’égalité hommes/femmes.
Des partenaires dans huit pays
La lutte pour le travail décent est le point central de nos projets de solidarité internationale. Nous soutenons des partenaires dans 8 pays sur base d’égalité et de solidarité. Pas par paternalisme ou charité. Les projets sont concrets : la formation syndicale, l’appui aux travailleurs en sous-traitance, l’attention pour la sécurité et la santé, la lutte pour un salaire minimum…
Leur lutte est la nôtre
Plusieurs sections ont accepté de parrainer un de ces projets. C’est important pour sensibiliser les militants et les informer. Il n’est pas toujours évident de s’identifier à Lucia en Amérique du Sud ou à Faustin en Afrique. Pourtant, tous deux travaillent pour les mêmes multinationales. Même si le contexte et la réalité du terrain sont différents, il y a malgré tout des similitudes. Nous avons beaucoup à apprendre les uns des autres.
Leur lutte est également la nôtre … et vice versa.
La lutte pour un monde meilleur est indispensable.
La Centrale Générale – FGTB ose l’engager.